• Berlin-Est-1927-1/7-




    Berlin   -  
    Symphonie einer Großstadt 

    1927 
      
    Director  -  Walther Ruttmann








    Publié sous le titre :

    Amateurs d'archives, voici Berlin !!!

    Et gardé en brouillons dans mon ancien blog

    Depuis le mois de novembre 2009

    Je suis soulagée de pouvoir enfin le publier ici ...





    Je trouve ce film tendre ...  Et juste ...  Serein, humain ... 

    L'entre deux guerres là-bas était déjà fortement teintée par la montée du national socialisme et Adolf fourbissait ses armes, ses rancunes et amertumes quelque part entre les murs d'une prison en rédigeant son Mein Kampf devenu aussi sinistre que célèbre et qui par sa théorie, et l'acharnement de son auteur à la mettre en pratique, a complètement basculé la destinée du monde et de tous ses habitants ! 
    La seconde guerre mondiale a ébranlé l'ensemble des continents, des états, des populations, des religions, des croyances, des théories humanistes, des races, des espèces et des ethnies ...  Nul n'en fut épargné ...



    Berlin-Est, qui n'existe donc plus, est une ville que j'aime ...  Mais dire que je l'aime, pour le néophyte, peut ne rien vouloir dire du tout ...  On croira que comme tout touriste banal, ou comme tout être un peu intéressé par l'histoire, j'y aurais porté mes pas et mon regard et j'y aurais trouvé séduction et intérêt ... 

    Or que non ... 
    Ce n'est pas cela ... 
    Pas tout à fait ... 

    Berlin, je corrige donc, Berlin-Est, qui n'existe plus, est une ville qui m'aime ...  Il me semble que c'est plus juste de le dire de cette manière là ... 

    Parce que Berlin-Est, qui n'existe plus, c'est un nom de ville et d'histoire qui a traversé de part en part la totalité de mes douze premières années de vie ...  Enfant embarquée dans une douloureuse affaire de grands, témoin de leurs dires, de leurs amertumes, de leurs espoirs et de leurs regrets, je les écoutais parler de ce rideau de fer ...  Tellement souvent il prenait place dans les conciliabules tout autant que dans les vociférations ... 
    Berlin ...  Berlin-est ...
    je l'imaginais moi Berlin-Est sombre, en ruine, avec des tas d'humains enfermés dans des immeubles vétustes et gris ...  Je l'imaginais moi Berlin-Est avec des magasins dont les rayons étaient vides, sans jolies vitrines, sans lumières ni néons ...  Je l'imaginais moi Berlin-Est, retentissant de bruits de bottes et de sabres, avec des rues traversées de calèches tirées par des chevaux ...  Je l'imaginais moi Berlin-Est remplies d'enfants qui tous portaient les mêmes vêtements, comme une grande tribu d'orphelins ...  D'ailleurs je n'y voyais que des enfants moi durant tout un temps de mon enfance ...  Je l'imaginais moi Berlin-Est comme une ville douloureuse, silencieuse, où il n'y avait pas de musique, pas de rires, pas de joies, pas de fêtes ...  Je l'imaginais moi Berlin-Est sillonnée par des policiers et des militaires sévères, ombrageux ...  Et dangereux ... 

    J'aimais moi Berlin-Est ... 
    J'avais pitié d'elle et de tous ses habitants ...  Toute mon enfance, et je garde en moi cette impression profonde, toute mon enfance je me suis sentie triste pour Berlin-Est ... 

    C'est pourquoi je dis qu'elle m'aime ...  Parce que jamais elle ne m'a lâchée ni les émotions, ni les sentiments, ni la mémoire ... 



    A l'époque d'ailleurs l'on ne parlait pas du mur de berlin, l'on parlait du rideau de fer ...  Et j'imaginais moi un grand rideau, comme un immense rideau de théâtre tombé, epais, sinistre et lourd, façonné à la manière des treillis de poules du fond du jardin, avec de grands orifices en forme d'oeilletons, descendant du ciel sur le sol ...  Je l'imaginais qui bougeait avec le vent et avec le mouvement et la pression de mains d'enfants qui s'y accrochaient ...  Car derrière ce terrible rideau j'imaginais des yeux, des milliers d'yeux d'enfants qui  dardaient leurs regards au travers des trous vers l'autre côté du rideau là où j'imaginais leurs parents ...  curieusement j'imaginais les enfants d'un côté et les adultes de l'autre, comme si le rideau avait séparé le monde des adultes et le monde des petits et que tous ces petits ils étaients là punis , isolés, exilés de la vie et de leurs familles ...  Hors du monde des autres ...  Et je me sentais toujours immensément triste quand je pensais à ces enfants là-bas isolés derrière ce rideau de fer ...  Immuable rideau de fer ...  J'entendais ou je croyais entendre un bruit ...  Un choui choui que devait faire le rideau quand il y avait du vent ...  Et je voyais les petites mains, les petits doigts accrochés dans les mailles ...  Des petites bouches aussi j'imaginais, qui envoyaient des baisers ...  J'imaginais leurs yeux, tout noirs et grands et brillants de désir d'en sortir  ...  J'imaginais qu'ils étaient dans l'obscurité, une espèce de pénombre comme je croyais que devait être la pénombre d'une scène de théâtre quand le rideau est tombé ...  je les imaginais ces enfants tous très tristes, je les imaginais torturés, maltraités, toujours punis, affamés, sans joie, sans bonheur aucun ...  Je les voyais dans mon esprit se bousculant les uns collés aux autres, tentant de voir à travers cette cotte de mailles et de ferrailles, tentant d'apercevoir leurs mères ou pères qui de l'autre côté leur faisaient des signes et les appelaient ...
       


    Quand j'ai su que le mur était tombé, donc pour moi que le ridau s'était levé vers le ciel et à jamais ...  Je séjournais Alors en Grèce ...  J'aurais aimé être là-bas ...  Pour pleurer ... 
    J'aurais aimé oui, pleurer ...  Pleurer les larmes de tous ces enfants, de tous ceux qui n'étaient plus là pour voir cet évènement extraordinaire se passer ...  Cette levée de rideau ...  Pour pleurer les larmes de tous ces éternels exilés, ces éternels apatrides dont je me sentais partie depuis toujours, pour pleurer ce miracle ...  Cet impropable devenu réalité …  Pour pleurer en mémoire de ceux qui en étaient morts de chagrins et de lourdes peines morales ...  Pour pleurer les larmes de ceux qui un jour l'avaient traversé au risque de leur vie sachant que sans doute ou peut-être ou jamais ils ne pourraient retrouver les membres de leur famille ... 




    mes origines hongroises, et juives, l'histoire de ma famille maternelle, la proximite familiale, étonnante même mais réelle, Germano-Berlinoise par une branche de belle-famille maternelle m'ont sans nul doute fortement sensibilisée et même portée à ces émotions et à ces sentiments profonds et contradictoires que j'éprouve pour ces lieux, ses gens et leur histoire ... 

    Berlin a eut son versant "est" et n'est pas si eloignée des frontières hongroises ni même de Budapest ...  

    La Hongrie, naturellement, a été de ces enjeux politiques non négligeables déclencheurs des hostilités des deux guerres mondiales ...  De plus il convient, tout de même, de savoir que des milliers de hongrois, tziganes et juifs, fûrent parmi les premiers harcelés, déportés et massacrés dans les camps de la mort ...  Elle a aussi été de ces rares pays de l'est qui ont ouvert leurs frontrières fin des années '80  ...  La hongrie a donné asile aux exilés de berlin-est et compte aujourdhui encore nombre de familles implantées après que le rideau soit tombé divisant la totalité du continent européen en deux parties dont on disait que l'une était libre et l'autre sous dictature bolchévique … 




    La construction du mur-rideau a entraîné pour tous les ressortissants de l'est passés à l'ouest l'impossibilité d'y retourner librement ...  Et l’inverse bien entendu …  Venir de là-bas était aussi compliqué que d’y aller partant d’ici …  Mon grand-père maternel,  de son prénom Jeyljnek (signifiant « un des fils de Jacob » en hébreu, dit Jellinek en hongrois et qui d’ailleurs tire son origine de Tsvi signifiant cerf en hongrois, abusivement traduit par Joseph d’ailleurs en français …) de même que mon oncle de son prénom Dèijyèn, (signifiant « juge »  et prononcé Dayan en hébreu, portant la même signification en hongrois, lui aussi abusivement traduit par Désiré en français) ont eu bien des peines, des vexations et des misères pour parvenir à se rendre dans la capitale hongroise durant les années du rideau ceci juste pour pouvoir y retrouver quelques traces de leur famille et de leur nom ... D’ailleurs mon oncle, après avoir travaillé dans la mine et ensuite comme marchand de charbon est parvenu à se dégôter un emploi comme chauffeur de cars touristiques pour les pays de l’Est où il pouvait ainsi se rendre sans trop de tracasseries administratives pour y retrouver une branche de la famille à Budapest et pour, comme il le disait si joliment « me remplir les yeux, avant de mourir, du Danube et des reflets de ses rives dans l’eau » … 

    La conversation des rencontres familiales de mon enfance tournait toujours et principalement autour du mur-rideau ...  Autour de la guerre ...  Autour des camps aussi bien entendu ...  Et encore, cela se faisait pour part à messe basse vu que dans cette famille s'était introduite je l'ai déjà dit, par alliance, une allemande, berlinoise précisément ...  Berlinoise d'avant le rideau de fer ...  Berlinoise de la Guerre ...

     

    Le rideau de fer, son histoire en aval et en amont faisait donc intégralement partie de mon enfance ...  C'est pourquoi, bien plus loin que l'évenement propre à la chute du mur, ou a la levée du rideau dans mon esprit, je suis (hyper) sensible non seulement à l'histoire de Berlin et de son rideau metallique, de son mur, mais  aussi à tout ce qui tourne autour de ce terrible rideau abaissé au beau milieu de l'europe, ayant divisé des familles entières durant de très, de trop longues années ...  Une division qui a entraîné dans bien des familles réfugiées de l'autre côté du mur, (qui n'était pas pour autant, j'aime à le souligner, le BON côté du mur), des rémanensces inextinguibles d'histoires douloureuse, horribles et terribles ressassées sans relâche ... 

    La mémoire vive et à vif ...




    Il y a bon temps déjà que je voulais publier ce film dans mon ancien blog, depuis le 20 ième anniversaire de la chute du mur il traîne là dans mes archives mais je ne suis jamais parvenue à le publier pour cause, principalement, de soucis de mises en page et de publication dans mon ancien grmmmmbbbll de blog ...  Je suis contente d'enfin le poser quelque part ...  Non pas de m'en défaire mais bien de pouvoir le donner à voir ...  Il me semble que c'est là un document historique que ce film et qu'il peut ouvrir la perception d'un Berlin méconnu ... 
    D'ailleurs pour dire le vrai ... 
    Qui connaît Berlin s'il vous plaît ?... 



    Le film nous apporte le Berlin d'avant le rideau de fer et d'avant les heures de la seconde guerre mondiale ... 

    Tout juste avant ...  Et tout juste aussi avant la crise monétaire et économique mondiale de 1929 qui fut à plus d'un titre, elle aussi, parmi les mobiles (ou les symptômes) ayant mené à cette terrible et dévastatrice seconde guerre mondiale ...  Celle où ont péri tant d'humains que le recensement exact jamais ne pourra se faire ...  Les chiffres avancés resteront toujours approximatifs comme toujours c'est le cas dans ce genre de débâcle ...  Le décompte des victimes est un ouvrage particulièrement fastidieux et douloureux aussi quoiqu'il en soit ...  L'histoire et sa mémoire seule détiennent les comptes et décomptes de ce drame ...



    Comment parler de Berlin sans parler du Mur ?  
    Par Carine Truffot -M
    onuments



    Tout d'abord, un peu d'histoire. 

    Après la Seconde Guerre Mondiale, l'Allemagne est divisée en 4 zones d'occupation et Berlin en 4 secteurs (britannique, américaine, française et russe).  Tout se passait plutôt bien jusqu'en 1948.  Les soviétiques décident de sortir du Conseil de contrôle allié et Staline instaure le blocus de Berlin du 24 juin 1948 au 12 mai 1949 (bientôt la commémoration du 60e anniversaire de la fin du blocus).   C'est à ce moment là qu'est mis en place le fameux pont aérien entre l'Allemagne de l'Ouest et Berlin Ouest. En 1949, c'est la création de la RFA (à l'Ouest) et de la RDA (à l'Est).  Légalement, Berlin garde le statut de ville démilitarisée (en soldats allemands), partagée en quatre secteurs et indépendante des deux États allemands, même si la partie soviétique devient la capitale de la RDA ! La ville reste cependant le seul endroit où les Allemands de l'Est comme de l'Ouest peuvent transiter, car la frontières entre l'Est et l'Ouest séparant l'Allemagne en deux est déjà constamment surveillée. De 1949 à 1961, jusqu'à 3,6 Mio d'Allemands fuirent la RDA, dont une grande majorité de jeunes actifs bien instruits. En effet la RDA et son économie planifiée est déjà au bord du gouffre. Revenons à Berlin, pour fuire la RDA, il suffisait d'aller à Berlin-Est, de prendre le métro, de sortir à Berlin-Ouest et ensuite le train jusqu'en RFA ! Mais hormis les déserteurs, il y avait beaucoup de travailleurs frontaliers! Dès le 4 aout 1961, les travailleurs frontaliers devaient s'enregistrer comme tel en RFA et payer leur loyer en Deutsche Mark (monnaie de la RFA).  






    Ce mur ....  

    Quand j’ai appris qu’il s’agissait vraiment d’un mur en dur et non pas d’un rideau de fer j'en suis restée soufflée ...  Je me souviens avoir été très triste et même perdue, déçue … 
    On m’avait donc menti ?! Il ne s’agissait même pas d’un rideau alors, au travers duquel les enfants pouvaient voir la lumière et leurs parents mais d’un véritable mur grossier et épais, complètement fermé et qui devait faire régner là derrière une profonde obscurité …  C’était une espèce de catastrophe pour moi …  Et pour tous les enfants que j’avais imaginés là derrière …  



    En une nuit, du 12 au 13 aout 1961, le mur est construit sur la frontière entre Berlin Ouest et Berlin Est, aidé par près de 15 000 membres des forces armés soviétiques prêtes au combat.  63 000 Berlinois de l'Est perdent leur emploi à l'Ouest.  C'est seulement à partir de décembre 1963 que les Berlinois de l'Ouest peuvent rendre visite à leurs parents restés à l'Est, et ce jusqu'en janvier 1964.  D'autres négociations aboutiront à des accords similaires les années suivantes.







    Séparant les humains ...
    Les enfants de leurs mères …
    Les mères des pères …
    Les pères de leurs femmes …
    Les femmes de leurs enfants …
    Les frères de leurs sœurs …
    Les sœurs de leurs frères …
    Les neveux de leurs oncles …
    Les tantes de leurs nièces …
    Les nièces de leurs tantes ...
    Les cousins de leurs cousines ...
    Les grands-parents de leurs petits-enfants ...
    Les filleuls de leurs marraines ...
    Les parrains de leurs filleuls ...
    Les amoureux de leurs amoureuses …
    Les amis de leurs amis …
    Les élèves de leurs professeurs …
    Les patrons de leurs ouvriers …
    Tout le monde fut séparé de quelques coups de truelle ...
    De quelques coulées de ciment ...
    De quelques briques ...
    De quelques blocs …
    En quelques heures de temps …




    1989, la situation politique change.  La Hongrie ouvre ses frontières.  Alors beaucoup d'allemands de la RDA fuient le communisme sous prétexte de vacances en Hongrie, puis par l'Autriche.  Dans toute la RDA, la contestation enfle.  Les églises font des messes de la paix.  A partir de septembre, tous les lundis, une manifestation a lieu dans Berlin Est. Gorbatchev indique aux dirigeants de ne pas utiliser l'armée pour contrer ces manifestations.  Les manifestations continuent alors : 1 Mio de personnes le 4 novembre à Berlin Est.  Le 9 novembre 1989, lors d'une conférence de presse retransmise à la télévision à une heure de grande écoute, une nouvelle est annoncée, un peu trop en avance sans que les organismes concernés ne soit mis au courant.  Les voyages privés vers l'étranger peuvent être autorisés sans présentation de justificatifs ni motif du voyage ou lien de famille.  Les autorisations seront délivrées sans retard. Une circulaire en ce sens va être bientôt diffusée. Les départements de la police populaire responsables des visas et de l'enregistrement du domicile sont mandatés pour accorder sans délai des autorisations permanentes de voyage, sans que les conditions alors encore en vigueur n'aient à être remplies. Les voyages y compris à durée permanente peuvent se faire à tout poste frontière avec la RFA. 







    Morceau du mur decoré et exposé à Berlin




    Sans attendre, plusieurs milliers de Berlinois de l'Est se pressent aux points de passage et exigent de passer.  Les points de passages s'ouvrent au fur et à mesure pendant la nuit.  Le lendemain, les citoyens de la RDA se pressent pour franchir le mur et retrouver leur famille, leurs amis.  Le mur est tombé.  Le rideau est levé !... 
    A cette annonce le gouvernement de la RFA s'arrêta de travailler et entonna spontanément l'hymne nationale. 
    Présent à Berlin, le violoncelliste virtuose Mstislav Rostropovitch, qui avait dû s'exiler à l'Ouest pour ses prises de position en URSS, vient encourager les démolisseurs en jouant du violoncelle au pied du Mur.  La photographie de cet événement deviendra célèbre et sera l'un des symboles de la chute du bloc communiste en Europe.  A la suite, certains morceaux du mur seront gardés en commémoration, ou tout simplement pas détruits. 

    Le plus important est l'east-side gallery : 1,3 km de mur le long de la spree.

    Il est très connu car des artistes sont venus peindre les morceaux du mur dès décembre 1989.  Malheureusement c'est en ce moment en restauration (en vue de novembre 2009). Mais dans la même idée, on trouve des morceaux du mur un peu partout dans Berlin ... 
    Décorés ... 
    Les gardes à la frontière ne sont pas au courant ...
    mais la pression de la foule est trop forte. 

    Le monde est en marche ..... 
    Vers une espèce de liberté ...







    Pan de murs de la spree décoré par des artistes dans les heures qui ont suivi la chute du mur
    et l'ouverture définitive et "libre" vers l'est ...


    Traduction de la phrase écrite par les artistes au dessus du dessin : 

    "Il reste beaucoup de murs à abattre ..."





    Emouvant tout ceci oui ?...
    'Tendez, c'est pas fini !...  
    J'espère que vous appréciez ?  
    Pour la suite
    Voici le chemin ... 






    Et à vous y retrouver j'y compte bien ...
    Et de recevoir aussi vos avis ... 
    Histoire d'échanger !?...
    Pour moi ce mur, ce rideau de mon enfance, restera toujours un symbole d'incarcération totalitaire ...
    Sans pour autant prétendre, il va de soi, que le rideau divisait un monde meilleur d'un monde pire ...

    C'est pire des deux côtés ...
    Chaque côté ayant ses meilleurs ...



    grand merci de la visite ! 
    Mandragaure 


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